Melting-vernissages
Rien de tel pour finir la dernière semaine de Septembre comme il se doit en ouvrant grand ses yux, ses oreilles, et tous ses sens si nécessaire, afin de se laisser gagner par l'émotion que dégagent les nouvelles expositions des galeries parisiennes...
En commençant mercredi par le vernissage de l'exposition Redemption Choppers, à la Galerie Ofr., dans le 3e arrondissement (M° Arts & Métier)
Jeudi, c'est vernissages-party !
Il faut tenir le rythme... Voici un petit échantillon du périple de la soirée-vernis',
avec "Copain comme cochon"...
Une exposition collective d’illustration et autres, à la Demeure des Artistes, 24 rue de Lappe, paris 11e.
Un arrosage en présence de saucisson, avec « Les Frangins », maison de qualité.
Puis, la Mairie du XIIe arrondissement a ouvert ses portes pour fêter le festival 12x12,
un cocktail concentré d'artistes en tous genres...
Et enfin, ce que l'on retiendra de ce jeudi soir-là...?
L'exposition Grigri fétiche, « une exposition sous le contrôle de l’invisible »…
A l'Atelier des vertus, 6, rue des vertus, dans le 6e arrondissement.
Un lieu dédié à l'art contemporain, aux formes d'écritures contemporaines fondé par Cultures & Performances
« Jouissons SVP »...
Pour finir la semaine ? Cap sur les quais, avec Skoya : à la galerie Le Cerisier
Skoya créé des toiles, des vêtements, et tout ce qui peut être transféré sur un support pour donner lieu à une création visuelle qui attire l’œil.
A quel mouvement appartiens-tu Skoya ?
Abstrait ? Réaliste ? Figuratif ?
Nous les créateurs, les alchimistes, les marginaux, les rejetés, les rêveurs, continuons à marcher de l’avant, tout en gardant en tête le passé, telles des diapositives gelées dans nos mémoires. Nous nous efforçons de comprendre la définition du « sens » des choses, dépassant toutes les limites, afin d’atteindre au plus profond de la création, et élever celle-ci au plus haut, rêvant de moments sacrés avec le sentiment d’un au-delà.
Tel un conquistador de l’inutile, dans l’espoir de devenir un être meilleur, poussé par le désir d’alimenter la mémoire collective de cette terre nourricière. Restant toujours attiré par l’indésirable et le rejeté, à la recherche de la connaissance et du sens de la vie, luttant pour la grâce de la création.
A travers l’inconscient notre chemin croise celui de la joie purement instinctive ; découvrant un sens de responsabilité envers les grands espaces sauvages. Cette quête de découverte infiltre dans notre conscience un certain sens de la beauté.
Ouvrant la voie d’un futur imprévu, j’ai appris que les meilleurs voyages répondent à des questions, que nous n’aurions jamais pensé nous poser auparavant. Réalisant que la peur de l’inconnu est la plus grande des peurs, il est une nécessité pour chacun de partir à la découverte de son environnement. Et je vis afin de ne jamais faire de compromis sur ces engagements.
« Rien ne développe l’intelligence comme les voyages » Emile Zola.
Une exposition du 27 septembre au 6 octobre au 42 quai des Célestins dans le 4e arrondissement, M° Pont Marie ligne7.